Paysages et structures agraires

Première partie

Marc BLOCH au péril des flibustiers et des pantouflards de la “recherche”

Les paysages agraires et leurs structures, en France, ont pu se résumer à DEUX FORMES dominantes, vers lesquelles, d’ailleurs, on tend, aujourd’hui, à revenir ; ces deux formes sont parfaitement visibles sur cette vue aérienne (due à L’Institut Géographique National), ce sont : le BOCAGE à prairies dominantes entourées de haies – dont la « ZAD » de Notre-Dame-des-Landes fut une illustration emblématique – et à habitat dispersé, à gauche et sombre sur le cliché du centre, et les champs ouverts – ou CAMPAGNE dits openfield (piquetés ici de pommiers de complant) – aux parcelles sans clôture, à habitat groupé, à droite et de couleur claire ci-dessus. L’histoire récente, marquée par le Remembrement des propriétés rurales, de sinistre mémoire, a tendu à annihiler les structures closes, que l’évolution du climat, en particulier, pousse à réhabiliter en vue de remodeler des paysages agraires plus respectueux de l’environnement général, et plus favorables à la diversité biologique naturelle.

A gauche :  ferme isolée.

A droite : « barre » collective de gaignerie (4 logements visibles – hiver 1967). Bâtiment de servitude récent, rajouté, au fond

Palierne del.