Les arbres et la maitrise de l'espace et du temps

Par leur grande stratégie de survie – De l’intelligente beauté du monde

Codicille 1 : L’intimité anatomique et physiologique de l’arbre (2ème partie)

Codicille 2 : Détails des manifestations intelligentes et pathologiques

Tables : Suppléments

Cinquième édition, complétée et approfondie de la Loi de l’Évolution et enrichie de réquisitions contre les idées convenues du “communément  admis”.

Codicille 1 : L’intimité anatomique et physiologique de l’arbre (2ème partie)

Cette partie – très abondamment illustrée – complète la mise en évidence du fonctionnement de l’intelligence arborescente par son anatomo-physiologie. De gauche à droite, coupes transversales montrant : une longue fibre du système « nerveux » au milieu des vaisseaux du système circulatoire ; une lenticelle ou orifice de communication avec le milieu extérieur ; trous de conjugaison de l’écorce pour informations extérieures.
Au passage (p. 304) petite correction à quelqu’un qui s’est trop inspiré de mes “découvertes” sans le dire !!!!

Codicille 2 : Détails des manifestations intelligentes et pathologiques

Il s’agit ici de compléments indispensables à la compréhension du “fonctionnement” vital des arbres, soumis, comme le sont les organismes animaux, aux agressions pathologiques que s’efforcent de combattre des stratégies intelligentes. Il s’agit ici de combattre des idées fausses : par exemple sur l’embranchement, totalement indépendant du tronc (à gauche, coupe transversale montrant l’insertion d’une branche dans un tronc ; à droite, la disposition du système circulatoire des vaisseaux confirme cette indépendance : les trouées des vaisseaux suivent le « fil » du bois du tronc : ils ne sont pas reliés à la branche !)
Tables – Suppléments : En toute fin d’ouvrage, quelques suppléments précisent quelques points litigieux

il n’y a pas de contreforts aux pieds des arbres, car, comme en architecture, ils sont inefficaces. Par contre, il peut y avoir des arcs-boutants qui permettent à l’arbre de prendre de la hauteur, comme en architecture.
Dans les 2 cas, l’arbre est un sapin du Jura.