Esquisse estimative sur les fluctuations pluviométriques et leurs conséquences

L’article téléchargeable ci-dessus a été donné aux Cahiers Nantais de Recherche Géographique en 1977 et est paru en 1978 Juin, ss N° 15, DL 2^ème semestre). Prévu initialement pour annoncer une CANİCULE aride, avec de possibles (et non négligeables) dégâts mortels dans la population (vieillards et nourrissons), aux environs de l’an 2000 (comme il est suggéré dans le texte), il a dû être entièrement réécrit, et réservé au seul aspect pluviométrique, reconverti en adaptation à la culture du maïs (!), sous la pression de la Direction, qui – comme l’ensemble des supposés spécialistes (Jouzel inclus) du monde entier – croyait, non pas à un réchauffement dûment constaté par moi ici, mais au retour du froid GLACİAL.

Pour établir ma prévision, assise sur une exigence heuristique j’avais choisi la région nantaise à cause de sa position au centre des terres émergées (figure gauche) et à positions solaires remarquables (figure droite), le CLİMAT TERRESTRE dépendant prioritairement de la relation Soleil-Terre (figure centrale due à De Martonne), les actions humaines, non nulles (il s’en faut) n’étant que secondaires.