Août 2019, 12 pages, 7 figures, 3 photographies, 2 lettres
De la neige à la pluie, de la pluie à l’aridité : c’est un peu l’histoire actuelle de notre climat que menacent, à la fois, un échauffement excessif et un assèchement inquiétant.
Que sait-on du passé immédiat, qui a conduit à ce que certains considèrent presque comme une galéjade, et qu’augure-t-on pour l’avenir ? De ce que j’appelle les PRÉMONİTİONS aux PROSPECTİONS ou projections dans les prochaines décennies, voici mon avis exposé de la façon suivante : dans un 1er temps, j’expose – preuves à l’appui – les raisons de mon intérêt ancien pour le climat et apporte quelques corrections à la fatuité de certains ; dans un 2ème temps, dit I – CANİCULES ARİDES 1976-2003, je présente et expose un article annonçant, en 1978, la canicule de 2003 que j’ai dû modifier sous la pression des sots (33 p) ; et II – DYNAMİQUE PLANÉTAİRE, j’envisage la circulation générale atmosphérique et d’autres raisons qu’humaines du réchauffement, qui serait encore plus dangereux.
La terre nous en apprend plus que tous les livres, comme l’a dit Saint-Exupéry, et merci à J. Jouzel de s’incliner enfin devant la vérité scientifique : « ce qui préside aux grandes phases (du climat) c’est bien la position de la Terre par rapport au Soleil » (Le Monde, 2-3 juin 2019). Tout est à des avis abstrus du genre « à 20% près, 100% du réchauffement observé depuis 1850-1900 est dû aux activités humaines » (Mme Masson-Delmotte, in Réchauffement de la Terre en 2050, Le FigaroSciences, p. 7, Juin-Juillet-Août 2019). J’y reviendrai dans mes HUMEURS.
A gauche : Huile sur toile de neige dans la campagne nantaise (auteur J-M. Palierne).
Au centre : Imitation d’esquisse japonaise de pont sous une averse (auteur J-M. Palierne).
A droite : Plateau caillouteux aux portes du Sahara sous brouillard de sable.
