Les élites et les ilotes
Par-delà l’Économie et l’Écologie : l’Éthopraxie *
CAHİERS DU CENTRE NANTAİS DE RECHERCHE POUR L’AMÉNAGEMENT DE L’ESPACE RÉGİONAL
Cahier N° 6 Janvier 1973. Plus, à suivre, référence à l’article (disponible sur le site) Vive la Géographie Régionale !, et un commentaire sur « Les collapsologues… » de Chr. Ramaux (Le Monde, 16-08-2019)
Un très bref additif a été ajouté après l’article, intitulé : LES ÉLUS ET LES ZÉLOTES, sur lequel je reviendrai ultérieurement, son intitulé jouant, à la fois, sur les liaisons qu’évitent désormais de faire les Francophones de France.
Ci-dessous, en haut, deux constructions par analyse des données de masse (ACP de big data) montrant : à gauche, la France Provinciale (Janvier 1995, amputée de la Région Ile-de-France), en situation de déséquilibre grave (figure écrasée sur sa base), et, à droite, la même, mais purgée des variables “invalidantes” qui la “stigmatisent” par rapport à la région d’Île-de-France. On voit très clairement sur cette dernière construction ce qui manque à la France des « régions » (ou de l’infamant « territoires ») ; se reporter à l’article « Vive la Géographie régionale ! ». Vingt-deux (22) ans après Élites et İlotes, le calcul, implacable, vérifiait mes prévisions de 1972-73, qui AFFOLENT aujourd’hui les responsables politiques (et socio-économiques), et qui me valurent la qualification de FOU, renouvelée de mes prévisions climatiques caniculaires et arides pour le début du XXIème siècle (v. l’article sur « Esquisse estimative sur les fluctuations pluviométriques ». L’entassement urbain, qui vire à l’ENCASERNEMENT pour « VERDİR » (!) le reste, a créé les disparités du centre et des périphéries que j’ai distinguées ici, bien avant que certains, et jusqu’au pape, en fassent leurs choux gras. Les petites maisons de caractère et même les ateliers urbains (ici chocolaterie) anciens doivent s’effacer devant un urbanisme “cubiste” galopant, que les… édiles, pathétiquement hantés par les « dents creuses », popularisent sans vergogne. Je dis que c’est lorsque je les relevais que ces constatations eussent dû être corrigées : aujourd’hui – comme pour le climat – il est peut-être trop tard, car les “politicien(ne-s)” sont toujours en retard.
Il ne faut pas se laisser impressionner par les graphiques : dans « Vive la géographie régionale ! », je dis ce qu’il faut comprendre à ces figures.