La Connivence
La Connivence, comme "complexe nerveux" végétal.
Images et mots de découverte d’un monde inconnu.
Proposition, par l’image et les mots, pour un complexe perceptif et décisionnel de l’arbre, en système circulatoire.
En 2013, Stef. Mancuso publiait, chez Albin Michel, une İNTELLİGENCE DES PLANTES, saluée, par Le Monde (journal), comme révolutionnaire pour sa mise en valeur de stratégies fascinantes.
L’édition “Poche” a republié récemment l’ouvrage, ce qui m’a permis d’en prendre connaissance.
Pour moi, ce travail n’est ni fait ni à faire : tardif, mal et pauvrement illustré, il s’en remet à des expériences de Lamark (XVIIIème siècle) et aux théories darwiniennes du brainrooth, pour assimiler l’enracinement à la spécification de la RACE.
Théorie, généralisée mais que je rejette totalement, non pour la raison de “racisme”, mais parce qu’elle ne met pas indiscutablement au jour la nature de ces « nerfs » supposés, ni ce qu’ils transportent, ni le mode de transport, ni leur mode de traitement, etc.
Inversement, moi – qui ai mentionné l’İNTELLİGENCE et les STRATÉGİES intelligentes des végétaux DÈS 1991 (début des mentions 1969), dans revue İSSN 0755-9232 N° 38, DL Jvr. 1992, pp. 77-148 – dans le présent travail sur la CONNİVENCE (équivalent de conscience humaine, Thèse d’État, 1975), je situe le complexe perceptif et décisionnel (“nerveux”) dans le système médullaire central (I) et périphérique (II), intercommunicatif donc (III), de la tête, siège du complexe (IV), qui donne la vie par la respiration des feuilles d’après-naissance jusqu’à la mort par la TÊTE aussi (IVb), le support (V) des mouvements étant constitué par les rayons, cordons, fuseaux, filets et grains médullaires.
Pour autant, je n’écarte pas le rôle important des racines (VI) dans la fixation, le ravitaillement et le système d’information (dont elles dépendent – VII) du reste de l’İNDİVİDU végétal.