Les arbres et la maitrise de l'espace et du temps

Par leur grande stratégie de survie – De l’intelligente beauté du monde

TOME 1 : ÉCOLOGIE ET ÉTHOLOGIE

TOME 2 : ÉLÉMENTS INTIMES ET MÉCONNUS

Cinquième édition, complétée et approfondie de la Loi de l’Évolution et enrichie de réquisitions contre les idées convenues du “communément  admis”.

Comme le disent les pancartes du genre de celle ci-contre, que les moines grecs de l’Athos accrochent dans les forêts, il faut « chérir les arbres » car ils sont parmi les grands ancêtres de la vie sur Terre. C’est donc eux qui sont ici à l’honneur,  à la fois dans leurs formes, les lieux de leur résidence, que sont les sols, et leur environnement climatique (ÉCOLOGİE), les groupes de vie qu’ils constituent pacifiquement ou “belliqueusement”.

Dans ces conditions, ils sont amenés à élaborer des comportements adaptés aux difficultés qu’ils rencontrent dans leurs milieux de vie (ÉTHOLOGİE) : ces comportements sont des tactiques, mais surtout des stratégies de survie, que je crois être le seul à avoir envisagé du point de vue de l’intelligence des VİVANTS non humains, en découvrant, du reste, des particularités inconnues ou mal définies, ou comprises de travers.

Ci-dessous, quelques illustrations mettent, sommairement, tous ces aspects en valeur. De gauche à droite : élaboration au collet du pied d’un individu tropical de jambages de secours pour améliorer son alimentation – pour exploiter directement la nourriture en surface du sol, ce hêtre, lui, étale ses racines en partie hors sol – au lieu d’aligner ses bourgeons le long du tronc, ce chêne les regroupe au même niveau pour économiser son énergie – un pin maritime, pour échapper aux vents de mer, n’a pas élaboré de tronc – l’étalement équilibré des racines lutte contre la pauvreté du sol – après une très forte sécheresse, ces pins ont multiplié à foison la descendance de leurs jeunes – pour pousser plus vite, ce châtaignier a dédoublé son tronc mais unifié sa tête – la division en deux du tronc, que j’ai appelée diplasie, est la plus puissante des stratégie de survie, dont on voit la naissance chez un jeune sorbier – un fragment de chêne montre le système «nerveux» de l’arbre (fibres partant de la moelle au cœur, et le système vasculaire (trous des vaisseaux). Et, comme tous les vivants, la maladie frappe les arbres : ici des tumeurs et métastases sur un chêne.